27 Nov. 2020

Portrait de parisienne: Alizée Fraval- District George V

1. Vous faites partie de l’équipe de l’Agence George V depuis quelques années pouvez-vous nous présenter cette agence et ses spécificités ?

Le charme de Paris tient dans la diversité de ses quartiers, dont chacun tire son essence : Les rues pittoresques du Marais, le romantisme de Montmartre et les monuments chargés d’histoire du 7e. L’agence District George V a la chance d’être implantée au plein cœur d’un des plus prestigieux d’entre eux : Le Triangle d’Or du 8ème, bordé par l’élégance de l’Avenue George V, le luxe de l’Avenue Montaigne et la célébrité inégalée des Champs Elysées. Notre agence est à l’image de ce raffinement opéré par l’étiquette des lieux, dont elle a su faire sa spécificité. La clientèle, singulière, attend de nous de l’exigence, un service irréprochable et unique.

2. Pouvez-vous nous présenter qu’est-ce que vous aimez particulièrement dans votre métier ? 

La somptuosité des lieux m’amène chaque jour à découvrir des lieux uniques, de l’appartement d’apparat au chic Haussmannien et à la décoration opulente, au penthouse refait à neuf par architecte, décoré par les derniers designers en vogue, en font des bijoux exceptionnels dont ma mission est d’en prendre le plus grand soin. Tout comme le joaillier prêtera le temps d’une soirée un bijou inestimable, je loue les appartements comme des joyaux ; en étant le trait d’union entre ceux-ci et le locataire ravi d’avoir trouvé sa perle.

3.Quels conseils proposeriez-vous à quelqu’un qui recherche un bien à louer en cette période un peu particulière ?Est ce que les dossiers changent, ou est ce que certaines modalités sont plus à soigner ?

« Le luxe ne connaît pas la crise » : C’est la singularité de ce marché locatif à part où rien n’est impossible, malgré ces temps particuliers. Les dossiers, à part eux aussi, ne sont généralement pas ordinaires et sont traités en toute confidentialité. L’adaptation la plus concrète dont notre service a du faire preuve, est surtout la gestion des dossiers à distance, les visites virtuelles et l’accomplissement des signatures électroniques ; ce que nous effectuions déjà auparavant ; mais qui est devenu une quasi – norme là où les contacts humains, à défaut d’être réels, sont virtuels, mais non moins privilégiés.


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